Le 5 décembre 2023, jour des résultats des évaluations PISA, Gabriel Attal, alors ministre de l’Éducation nationale, faisait des annonces à grand renfort de communication sur ce qu’il appelle alors le « Choc des savoirs », présenté comme le seul outil pour « relever le niveau des élèves ». Depuis, les différents ministres qui se succèdent rue de Grenelle adaptent le « choc des savoirs » à leur politique, Elisabeth Borne a accordé de la souplesse dans la mise en œuvre dans le second degré. Pour le premier degré, elle accède enfin à la demande de la FSU-SNUipp d’abandonner la labellisation des manuels scolaires.